« La diffusion de fausses nouvelles » et l'inquisition fiscale sont les nouvelles armes du duo Diomaye-Sonko pour la traque de l’opposition et de la liberté de presse.
Cinq mois après son arrivée au pouvoir, avec l’arrestation de Commissaire Keïta, le duo fasciste, qui veut gouverner par le despotisme, vient de battre le record de Mamadou Dia en matière de traque d’opposants.
Le placement en garde à vue du Commissaire Cheikhna Keïta n’est qu’un épisode de la guerre que le duo Diomaye-Sonko livre à la liberté d’expression.
Ce ne sera pas la première, ni la dernière fois que les intolérants qui gouvernent le Sénégal s’en prennent à la liberté d'expression.
Avec les tenants de la pensée unique, la pénalisation de la liberté d’expression va prendre une ampleur sans précédent y compris durant le corset senghorien du parti unique.
Avec le Pastef, la diffusion de fausses nouvelles expose n’importe quel citoyen non seulement à l’opprobre public, comme l’éviction de Bassirou Fofana de la direction de la Communication de l’Aeme, le lynchage médiatique de Ahmed Suzanne Camara par les médias, journalistes, chroniqueur et charlatans du « projet » sans oublier les sanctions pénales infligées à Bah Diakhaté et Imam Cheikh Ahmed Tidiany Ndao.
L’expression libre exercée sous l’œil de la Dic et des magistrats du « projet » appauvrit le débat démocratique.
Avec le duo fasciste Diomaye-Sonko toutes nos vérités et libertés sont en sursis.
Qu’à cela ne tienne !
Ils auront en face d’eux des hommes et des femmes qui, au prix de leur vie, défendront la liberté et se battront pour le triomphe de la démocratie sur le populisme débile du duo réactionnaire Diomaye-Sonko et la meute d’insulteurs pastefiens.
Vive la République !
Vive le Sénégal !
Dakar le 7 septembre 2024.
Cinq mois après son arrivée au pouvoir, avec l’arrestation de Commissaire Keïta, le duo fasciste, qui veut gouverner par le despotisme, vient de battre le record de Mamadou Dia en matière de traque d’opposants.
Le placement en garde à vue du Commissaire Cheikhna Keïta n’est qu’un épisode de la guerre que le duo Diomaye-Sonko livre à la liberté d’expression.
Ce ne sera pas la première, ni la dernière fois que les intolérants qui gouvernent le Sénégal s’en prennent à la liberté d'expression.
Avec les tenants de la pensée unique, la pénalisation de la liberté d’expression va prendre une ampleur sans précédent y compris durant le corset senghorien du parti unique.
Avec le Pastef, la diffusion de fausses nouvelles expose n’importe quel citoyen non seulement à l’opprobre public, comme l’éviction de Bassirou Fofana de la direction de la Communication de l’Aeme, le lynchage médiatique de Ahmed Suzanne Camara par les médias, journalistes, chroniqueur et charlatans du « projet » sans oublier les sanctions pénales infligées à Bah Diakhaté et Imam Cheikh Ahmed Tidiany Ndao.
L’expression libre exercée sous l’œil de la Dic et des magistrats du « projet » appauvrit le débat démocratique.
Avec le duo fasciste Diomaye-Sonko toutes nos vérités et libertés sont en sursis.
Qu’à cela ne tienne !
Ils auront en face d’eux des hommes et des femmes qui, au prix de leur vie, défendront la liberté et se battront pour le triomphe de la démocratie sur le populisme débile du duo réactionnaire Diomaye-Sonko et la meute d’insulteurs pastefiens.
Vive la République !
Vive le Sénégal !
Dakar le 7 septembre 2024.
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